Le safeword et les codes de couleurs sont en quelques sortes les mots de passe qu’utilisent les pratiquant du sado masochisme ; cela permet de fixer les limites à ne pas dépasser entre le dominant et la personne soumise. Il peut donc s’agir de couleurs, de mots ou encore de gestes qui sont censés faire comprendre à l’autre que le soumis veut arrêter ou veut aller plus loin. Par ailleurs, des personnes expertes en la matière comme les dominatrice Toulouse, peuvent vous donnez quelques astuces.
Le safeword
C’est le signal d’urgence qu’utilise la personne soumise pour dire stop comme par exemple le pouce levé, mais on peut aussi utiliser le droit de véto pour signifier que le soumis ne veut pas faire tel ou tel action. C’est donc un code de sécurité, il peut un mot qui est convenu à l’avance entre la dominant et le soumis. Depuis l’utilisation du bâillon, les pratiquants sm ont également convenu d’un code non verbal comme le fait de laisser tomber une pièce de monnaie qui signifie que le dominant doit arrêter ce qu’il fait : il peut être prononcé car la position est inconfortable, car on éprouve un malaise que ce soit physique ou morale.
Les codes de couleurs
Au cours de la relation, le dominant se doit de demander à la personne soumise à chaque étape la « couleur ? qui lui répond par des couleurs qui indique son état ; sinon la personne soumise peut le lui faire savoir sans attendre que le dominant lui demande ce sont de codes que l’on donne en dehors de la conversation comme le vert qui signifie que l’action peut continuer car le dominé est parfaitement à l’aise ; Orange quand l’action s’intensifie cette couleur indique que l’on peut tout de même continuer sans que cela ne doit pas trop augmenter , pour d’autre cela peut aussi dire que l’action est parfaite. Le rouge lui est l’alerte qui signifie que tout doit cesser car l’action est devenue trop forte pour la personne soumise, il peut aussi indiquer au dominant que la personne soumise va prononcer le safeword.